Moscou. Début des années 50. Des jeunes se battent pour le droit de ne pas être comme les autres – d’écouter une autre musique, de s'habiller différemment et, bien sûr, de s'aimer. Tubes à succès, chorégraphie éblouissante, sujet captivant et bouleversante histoire d’amour dans de somptueux décors.

El viernes por la noche es casi como una noche acortada de Año Nuevo. Uno puede esperar todo tipo de sorpresas en esa noche. La noche del viernes tiene su magia especial.

MOSCOU NE DORT JAMAIS est un drame multi-narratif qui capture l'énergie cinétique de la capitale russe dans une affirmation provocatrice sur la Russie de Poutine. Le film plonge tête baissée dans les intersections volatiles de la Moscou contemporaine et les vies intimes de cinq personnes: un ENTREPRENEUR dont l'empire commercial est assiégé par de puissants bureaucrates, une ADOLESCENTE qui croupit dans la misère d'un foyer brisé, UN JEUNE HOMME forcé de choisir entre sa petite amie et sa grand-mère ; une belle CHANTEUSE déchirée par la poursuite de deux hommes et une STAR DE FILM malade qui se retrouve mêlée à un étrange enlèvement. Au cours d'une journée, leur vie va changer à jamais.

Dans les années 80, en Russie, un camp de vacances est le théâtre de meurtres sanglants, perpétrés par un tueur masqué. 20 ans plus tard, le même camp sert de décor à une émission de télé-réalité. Les concurrents, cinq hommes et cinq femmes, sont en compétition pour une somme d'un million de roubles. Mais les organisateurs et les jeunes gens ne savent pas qu'un tueur rôde toujours, bien décidé à les éliminer un par un...

El joven biólogo Víctor Sluzhkin por falta de recursos va a trabajar como maestro de geografía en la escuela regular de Perm. Él lucha contra estudiandes, tambien choca con el director de estudios, conduce a los alumnos de décimo curso a explorar el río, y finalmente, después de discrepancias se lidera una gran amistad. Víctor es algien normal. Bebe vino con sus amigos, trata de llevarse bien con la mujer y lleva al jardín de infancia su pequeña hija. Él simplemente vive…