Amine, quinze ans, lycéen comme d’autres. Une petite amie, Lou, une vie banale. Un jour, une chute à vélo, encore. Sauf que parmi les passants, une jeune femme lui tend la main. Elle habite à côté, constate l’état de son genoux : il faut soigner ça, c’est moche à voir. Elle l’emmène chez elle, le tutoie, naturelle, sûre d’elle, bien dans une vie où tout semble facile. Il se sent proche d’elle. Est-il attiré par elle, ou par ce monde étranger ? En repartant, il s’aperçoit qu’il peut observer son appartement depuis la rue, il ira quotidiennement l’épier.

Une jeune femme découvre, dans la maison dont elle a hérité, une boîte contenant la correspondance qu'elle a échangée avec son père alors qu'il était en Indochine. Les souvenirs lui reviennent, elle se revoit enfant, elle revoit son père à la guerre, sa mère dépassée par les événements, son professeur de piano. Les Lettres de Saïgon, c'est cette enfant d'une douzaine d'années, Claire, sa correspondance avec son père plongé au cœur de la guerre d'Indochine. Une enfant qui tente de maintenir le lien entre ses parents, un lien ténu, fragile, se limitant à des lettres, des cartes postales, une enfant qui pense qu'écrire peut sauver une vie.

Un brouillard toxique, le smog, a recouvert la planète et oblige les hommes à vivre confinés. Mais quand on a quinze ans, comme Juliette, la vraie vie est dehors.

Lors de leur fête de fin de bac sur une plage, trois adolescents découvrent un petit bateau pneumatique sur lequel ils partent en virée nocturne. Ils se réveillent le lendemain, perdus en mer, sans eau, nourriture, ni abri.